Le 25 janvier, les dockers ont décidé d’arrêter le travail pour faire rétablir à leur poste de travail deux de leurs collègues. Une nouvelle réglementation ne permet plus à deux ouvriers d’accéder à la plate-forme portuaire car ils auraient une mention sur leur casier judiciaire. La direction de la CMA-CGM s’est immédiatement dédouanée en disant que ce n’est pas elle qui fait la réglementation mais l’État. Les grévistes se sont alors rendus à la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre pour se faire entendre. Ils ont fait un recours pour contester cette nouvelle réglementation. Leurs collègues ont pu reprendre le travail en attendant la décision de la préfecture concernant leur recours.