Le meurtre de Joël et Lorna début décembre a choqué toute la Guadeloupe. Les violences se poursuivent impliquant bien souvent des agresseurs qui auraient dû avoir un suivi psychiatrique sérieux. Le manque d’infrastructures et de personnel est criant dans ce domaine et ils ne cessent de diminuer. Résultat : beaucoup de malades ne sont pas traités alors que les troubles mentaux touchent une personne sur trois en Guadeloupe.