Lors de ses vœux, Macron a félicité des travailleurs qui ont continué à faire tourner la société pendant l’épidémie. Parmi eux, il a cité un chauffeur-éboueur à Matoury, en Guyane. Celui-ci lui a répondu dans la presse que ni lui ni ses collègues n’avaient touché la prime de 1000 euros promise aux travailleurs en première ligne. Les coups de chapeau ne coûtent pas cher !