En France, chaque année, Lutte ouvrière, qui défend les mêmes idées que Combat ouvrier, membre comme nous de l’UCI (Union communiste internationaliste) organise une fête au nord de Paris.
Lutte ouvrière est l’organisation de Nathalie Arthaud et Arlette Laguiller. La fête se déroule dans un grand parc boisé à Presles, petite ville du Val-d’Oise, à 30 km de Paris. La fête se déroule toujours durant le week-end de la Pentecôte. En 2023 ce sera les samedi 27, dimanche 28 et lundi 29 mai.
« La fête est l’occasion de rassembler tous ceux qui veulent dénoncer ce système capitaliste qui mène la planète à sa ruine, tous ceux qui veulent réaffirmer que l’humanité mérite d’être débarrassée de l’exploitation, de la misère et des guerres. »
C’est aussi un lieu et un moment de discussions politiques sur les idées communistes révolutionnaires que nous défendons et sur le Parti communiste révolutionnaire que nous voulons construire. Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte ouvrière, tiendra un meeting au Grand Podium le dimanche 28 et le lundi 29 mai à 15h00.
Cette fête permet de rencontrer des camarades de différents pays qui, tout comme Lutte ouvrière et Combat ouvrier, font partie de l’Union communiste internationaliste.
Combat ouvrier tient un stand à la fête : Menu d’Iles, et un stand Combat ouvrier. Ils se situent dans la zone du château. Vous pourrez avoir des discussions politiques avec nos camarades, acheter notre journal, des livres et des brochures à la librairie de notre stand. Vous pourrez également déguster des mets des Antilles.
Vous pourrez assister aux interventions politiques de nos camarades :
– Le samedi à la cité politique au Forum 1 à 16h00 : « Après le non-lieu dans l’affaire du chlordécone en Guadeloupe et en Martinique ».
– À 18h20 à l’Espace Engels nos camarades interviendront après la projection de « Claude McKay, de Harlem à Marseille », projeté à 17h00 au cinéma.
Le dimanche à 14h00 au Chapiteau Karl Marx, nous présenterons un exposé sur « le scandale du chlordécone en Martinique et en Guadeloupe ». Tous les exposés sont suivis d’un débat.
Le dimanche à 17h00 (espace Rosa Luxemburg) et le lundi (espace Engels) à 16h00, nous présenterons « La domination coloniale en Martinique : 1963, l’affaire de l’OJAM ».
Vous pourrez nous rejoindre à partir de la gare de Presles-Courcelles (Ligne H) qui est à 900 mètres de la fête. On peut s’y rendre en train au départ de la gare du Nord vers la gare de Presles-Courcelles. Il y a des départs toutes les heures à partir de 6h34. Le trajet dure 38 minutes. Un minibus fait la navette de la gare de Presles à l’entrée de la fête (la priorité est donnée aux personnes à mobilité réduite).
Des bus font aussi la navette entre la sortie du métro Saint-Denis-Université (terminus ligne 13) et l’entrée de la fête.
Des départs collectifs, en car ou en train sont organisés à partir de nombreuses villes de toutes les régions.
Toutes ces informations sont disponibles sur le site de Lutte ouvrière : fete.lutte-ouvriere.org