Le 11 février, un homme diagnostiqué schizophrène a tué son frère de 38 ans à l’arme blanche à Pointe-Noire.
Ces derniers mois, plusieurs meurtres ont été commis sur fond de troubles psychiatriques. Souvent le malade se met en danger ainsi que ses proches. Mais ici, il n’y a pas assez de moyens pour prendre en charge tous les malades. Les familles sont souvent seules à devoir se débrouiller. Il faut des moyens pour la psychiatrie !
Lionel Guillaume, la victime de 38 ans, était un travailleur engagé. Avec sa mort dramatique, la classe ouvrière perd un jeune engagé syndicalement dans son entreprise, la centrale thermique d’Albioma à Moule, où il était technicien. Combat ouvrier adresse tout son soutien à ses proches.