Une fraction combative des petits planteurs de canne sont réunis en collectif. Ils ne baissent pas les bras. Comme ils l’avaient annoncé, ils ont bloqué la récolte depuis le 24 février. Ils empêchent les camions de canne d’entrer dans l’usine Gardel du Moule.
Ils ont rencontré les parlementaires ainsi que le directeur de l’usine, mais sans résultats. Pourtant ils ont revu le prix de la tonne de canne à la baisse, 120 euros au lieu de 160 euros comme ils le réclamaient au début du mouvement.
Le mieux serait que les ouvriers de l’usine se mettent en grève sur leurs propres revendications en étant solidaires des petits planteurs.