Bardella est revenu sur sa promesse d’abroger la réforme des retraites imposée par Macron si jamais il devenait Premier ministre. Interrogé le 11 juin sur RTL, il a répondu : « nous verrons ». Pour se justifier, il a utilisé les mêmes arguments que tous les autres politiciens qui trahissent leurs promesses : il allait « hériter » d’une situation économique « compliquée ».