Le 7 octobre, les animatrices périscolaires ont arrêté le travail pour obtenir des augmentations de quota horaire et donc des augmentations de salaire.
Le maire, Jean-Luc Périan, refuse en s’appuyant sur un rapport de la Chambre régionale des comptes qui demande des restrictions budgétaires. Sauf que ce même rapport pointe du doigt des hauts cadres qui touchent des primes auxquelles ils n’ont pas droit. Et pourtant ces hauts cadres ne sont pas inquiétés pour le moment.
Après une semaine de grève et des négociations qui n’ont pas abouti, les grévistes ont voté la reprise du travail.
Elles ne comptent pas laisser tomber et ont prévu d’autres moyens d’action.