Dans le conflit qui oppose l’impérialisme occidental à la bureaucratie russe, sur la peau de la population ukrainienne et russe, Macron se veut premier de cordée.
À l’encontre de ses homologues européens, qui ont leur propre stratégie, il se dit prêt à envoyer des troupes en Ukraine. Ce n’est en réalité pas nouveau, puisque qu’outre les aides financières et le matériel militaire lourd, des « instructeurs » font déjà partie de l’aide apportée. Mais l’effet d’annonce doit jouer son rôle de préparation des esprits à ce que Macron appelle « une guerre de haute intensité ».
L’objectif immédiat est de jouer au chef de guerre de l’Europe et de montrer ses muscles, même si la France reste une puissance de seconde zone.
Par contre, « l’économie de guerre » que Macron préconise en faveur des entreprises pourrait plaire aux Dassault, Thalès et autres Safran, qui produisent les obus, canons Caesar, et tanks.
Il y a de juteux profits à réaliser.