Des images choquantes de la population palestinienne, victime de la faim, de déshydratation, de maladie et manque de soins, sont diffusées chaque jour.
L’État israélien, gendarme régional de l’impérialisme, pour maintenir sa domination sur les peuples de la région, entretient la peur, le sentiment de n’être en sécurité nulle part, pas seulement à Gaza, mais aussi au Liban, en Syrie… Et le génocide se poursuit. Le blocus de la bande de Gaza est total, rien n’y rentre, ni eau, ni nourriture, et ceci sous des bombardements permanents. Même les camps de réfugiés sont visés, des agents de l’aide humanitaire sont assassinés, plus aucun hôpital ne fonctionne. En deux ans de guerre, les opérations israéliennes ont détruit la quasi-totalité des infrastructures, 50 millions de tonnes de débris jonchent le sol, la circulation devient impossible et le gouvernent israélien a bombardé les 50 bulldozers destinés à déblayer les décombres.
Ce génocide a tué à Gaza plus d’enfants en neuf mois, qu’en quatre ans de conflits dans le monde ! 21 000 enfants sont portés disparus, ensevelis sous les décombres, enterrés dans des tombes anonymes, ou sans contact avec leurs familles.
C’est avec le soutien continu des États-Unis, et des États européens dont la France que Gaza est devenu un cimetière. Contrairement à ce que prétendent les dirigeants israéliens, ce n’est pas le Hamas qui est visé, mais l’ensemble de la population palestinienne, massacrée, affamée et bombardée.