Le 22 octobre, Claudine Maraton, secrétaire générale de l’UTS-UGTG, a été violemment arrêtée sur le piquet de grève au Centre hospitalier de Basse-Terre (CHBT), menottée et emmenée par les gendarmes.
Ces derniers l’ont interpellée pour « rébellion ». La direction a voulu casser la mobilisation. C’est raté. Non seulement le piquet du CHBT été renforcé par d’autres militants mais près de 200 personnes se sont rassemblées pour protester devant le commissariat de Basse-Terre, réclamant la libération de la militante au son du tambour. Elle fut libérée dans l’après-midi.