Le 10 juin 2025, une surveillante de collège de Haute-Marne est morte au travail, poignardée par un élève de 14 ans lors d’un contrôle d’entrée en présence des gendarmes.
Cette mort n’est pas une fatalité mais une conséquence de la politique d’austérité des gouvernements. Pour les gouvernements, l’école et la santé passent toujours après les profits. Les dirigeants, année après année, ont démantelé les services publics de l’Éducation et de la Santé. On compte à peine 800 médecins scolaires et 7 800 infirmières pour 12 millions d’élèves. Un pour 15 000 ! Le gouvernement parle de « repérer les élèves en souffrance ». Mais sans moyens humains, ni dispositif de prise en charge, ce repérage restera une façade. Pendant que l’école s’effondre, des milliards partent dans l’armement et les profits patronaux…