Écho des hôpitaux (Martinique)
Grand prometteur, petit donneur !
La direction s’est engagée en mai 2022, à réguler la durée des contrats des contractuels. À cet effet, elle a édité un tableau spécifiant la durée selon le grade pour « le recrutement sur emploi permanent ». Mais voilà, beaucoup d’agents sont encore avec des contrats précaires bien au-delà de ce qui est prévu, pour certains plus de trois voire quatre ans. La direction ne respecte même pas ce qu’elle signe ! C’est minable et intolérable !
Chantier en lutte (Martinique)
Profits et salaires
La direction d’ArcelorMittal annonce que l’entreprise a réalisé au troisième trimestre de cette année un bénéfice net de 269,78 millions d’euros. Elle possède aussi un « flux d’argent disponible » en augmentation. On aimerait bien en dire autant avec notre salaire !
Au paradis des actionnaires
ArcelorMittal continue de racheter ses propres actions pour les détruire. En quatre ans, il a racheté 37 % de son capital. Il y a ainsi moins d’actions et le dividende des actionnaires restants augmente d’autant. À nous, le patron veut nous imposer des jours chômés, aux actionnaires il augmente le dividende.
Écho des hôpitaux (Guadeloupe)
Pédiatrie : cadre ou garde-chiourme ?
Parce qu’un agent a témoigné des problèmes dans le service à son syndicat, il a été convoqué par son cadre pour rendre des comptes. Au CHU PPA, ils veulent même nous enlever la liberté d’expression ? Sois docile et tais-toi ? AWA !
Pneumologie ; harcèlement
Un cadre se permet de menacer des contractuels ; « on ne vous prendra pas au nouveau CHU… » Sous-entendu : « si vous ne faites pas tout ce que je veux ».
Est-ce une consigne venue d’en haut pour dégouter le maximum d’agents et les pousser dehors ?
Sucrerie en lutte (Gardel)
La direction désavouée
Les arrêts maladies ne peuvent être constitutifs d’une faute selon l’inspection du travail. Elle n’a retenu aucune faute contre la camarade. Cette fois « sé kod ziyanm ki maré ziyanm »
Harcèlement par la direction
Toutes les manœuvres sont bonnes pour la direction cherchant à intimider les salariés. Les attaques contre les arrêts maladie en sont une illustration, un harcèlement qui peut toucher n’importe lequel et nous amène à réagir.
Écho de l’aéroport (Guadeloupe)
Protect Company : harcèlement caractérisé
Une cheffe d’équipe a subi pour la énième fois du harcèlement de la part d’une responsable de Protect Company.
Alors qu’elle revenait de congés, cette salariée s’est vu intimer l’ordre de se rendre à un stage non-professionnel (formation CSE) qu’elle avait suivi un mois auparavant. La collègue a légitimement refusé de quitter son poste.
La cadre a alors fait appel au responsable sûreté pour suspendre son badge, et à la BGTA pour le lui notifier.
… avec la complicité du responsable sûreté et des gendarmes
Bien que ce stage ne concerne nullement la sûreté, il a effectivement été suspendu. La collègue a aussi été sortie de son poste par la BGTA qui lui a demandé son badge.
Ironie du sort, ledit stage a finalement été annulé, le formateur a confirmé que c’était le même que le mois précédent.
Les agissements de cette cadre sont inadmissibles, et la complicité de la sûreté et de la BGTA incompréhensibles.
Cette collègue, très touchée moralement, est en arrêt de travail. Mais elle n’en restera pas là.