Konba travayè bannann (Martinique)
Veillons au grain !
Sur l’habitation Malgré Tout à Trinité, les belles paroles du nouvel employeur, quant à la nouvelle organisation ne sont pas très claires. Le nouvel acquéreur de la plantation a décidé de réduire la surface en culture (70 ha) par la mise en jachère de 20 ha de bananes.
La question qui reste posée, c’est qu’adviendra t-il des 30 salariés occupés jusque-là sur les 70 hectares ?
Pawol a travayè bannann (Guadeloupe)
CUMA de Belle-Plaine de Capesterre-Belle-Eau : les travailleurs restent mobilisés
Le tribunal de Pointe-à-Pitre va juger l’affaire qui oppose les travailleurs à leur patron, le jeudi 15 mai à 8 heures. Après deux ans d’existence, cette Cuma qui a bénéficié de plus de trois millions de subventions, a cessé ses activités en devant plusieurs mois de salaire aux travailleurs.
Sucrerie en lutte (Gardel)
Pas de pause pour les ouvriers
Pour les ouvriers de l’usine, il y a toujours du travail quel que soit le volume de cannes. Nettoyage des machines, réparation de la casse, entretien en permanence. Avec ou sans canne l’usine tourne toujours grâce aux ouvriers, leurs revendications doivent être entendues
La voix des communaux (Les Abymes)
Et chiottes !
Voilà que le seul WC du deuxième étage du bâtiment Bokito qui servait pour 50 personnes est hors-service. Pourvu que celui du premier étage ne soit pas lui aussi HS maintenant qu’il est utilisé par 100 personnes. Croisons les… doigts.
Pawòl 5 é 4
Le magasin Jardiland qui occupait le rez-de-chaussée de l’immeuble Bokito a fermé. C’est le bon moment pour récupérer le rez-de-chaussée et installer les agents dans de meilleures conditions…
L’écho de Jarry (Guadeloupe)
SGEC Gaddarkhan : salaire surprise !
Encore une fois, les salaires arrivent en mode loto. Ce mois-ci c’était le 7. C’est censé tomber entre le 28 et le 5. Visiblement, la ponctualité n’est pas cotée ici. On veut être payé à date fixe. Et ce n’est pas une faveur, c’est un dû !
SGEC Gaddarkhan : congés volés
Les congés du mois d’août approchent. Mais on a tous en tête qu’une partie ne nous a pas été payée la dernière fois. Tout est dans le nom pourtant : congés « payés ». Mais chez nous, le mot « payer » semble rendre le patron aveugle.