12 décembre 2023 : La COP28, grand-messe du climat, se termine, sans vraies directives. Les huit dernières années sont les plus chaudes jamais observées avec pour conséquence l’augmentation de la mortalité, de l’insécurité alimentaire, des transmissions de maladies…
Il a été clairement établi que les gaz émis par les usines sont responsables de la température qui ne cesse d’augmenter depuis l’ère industrielle. Il serait donc évident pour tous sur la planète de réorganiser la production, la vie, pour éviter ces catastrophes.
Mais la société mondiale est dirigée par une classe sociale qui gère tout en fonction de ses seuls profits : les capitalistes. En particulier les grands magnats des énergies fossiles, charbon, pétrole ou gaz, savent que certaines, tôt ou tard, feront des millions de morts. Peu leur importe. Et ce ne sont pas les États qui leur imposeront de prendre de sages mesures pour l’humanité. Les États sont au service des capitalistes qui font des lois à leur avantage, ferment les yeux sur leurs actes de destruction, quand ils ne les encouragent pas !
Ce sont les plus pauvres, les travailleurs, les classes laborieuses et encore pire pour ceux des pays pauvres qui subissent le plus les effets du changement climatique. Ceux des pays qui n’ont pas les moyens de se procurer des systèmes à énergie renouvelable (solaire, vents) souffrent de l’utilisation exagérée de combustibles fossiles.
La seule initiative pour sauver l’humanité de la tragédie climatique est que les travailleurs et les pauvres renversent le système capitaliste et prennent les rênes de cette société pour l’organiser en donnant une vie décente à tous.