Le dimanche 27 octobre un détenu a brûlé grièvement un agent avec de l’eau bouillante à la tête et à un bras.
Les agents se sont immédiatement mobilisés, ils ont fait grève durant deux jours en bloquant les portes de la prison. Ils demandent le transfert du détenu en France. Ce n’est pas la première fois que les agents se font agresser. Ils l’ont déjà signalé à maintes reprises à l’administration mais rien ne change.
Cette violence est due à la surpopulation carcérale : 400 lits pour 700 détenus. Ces derniers sont installés à plusieurs à même le sol dans les cellules. Si rien ne change il y aura toujours des incidents violents dans la prison.