Cette structure est en théorie chargée de missions d’orientation, de formation profes-sionnelle et d’insertion. Mais à l’instar de l’École de la deuxième chance, elle ne dispose pas des moyens de fonctionner. L’absence de moyens et de politique de formation a entrainé la privation de l’aide du Fond social européen et de la certification Qualiopi, nécessaire à son fonctionnement.
Ces deux structures, qui auraient dû fournir à des jeunes la possibilité d’une formation qualifiante et diplômante, et donc une base plus sûre sur le marché de l’emploi, sont ainsi paralysées.
Leurs salariés risquent fort de se retrouver sans emploi. Ils dénoncent le comportement irresponsable de la direction et des élus qui a conduit à cette situation.